luni, 26 martie 2012

11 Novembre

Dans la matinné, j’ai été à pied jusq’à la Place des Victoires où se dresse la statue en cuivre de Louis XIV, érigée par le Duc de Feuillade. On  voit Louis XIV avec près de lui la Renommée, sous la figure d’un ange, voulant le couronner de lauries. L’ange, aussi bien que Louis, sont fondus dans la même bronze bien que les deux statue soient de la taille d’une homme normal. La statue est possé sur une piédestal de marbre blanc, haut de trois toises. Les faces de ce piédestal sont ornées de bas-reliefs ayant trait aux batailles et autres hauts fait. Sous ces bas-reliefs, se trouvent des inscriptions pénétrées de frivolité française. Ainsi, une inscription rappelle, comme un acte héroïque, la persécution et l’extermination des hérétique. La France voit bien l’utilité de cet acte héroïque: elle ne peut point exterminer l’hérésie, le quart du pays est peut être bien formé d’hérétique; cependant, avec leur exode, le pays a donné des manufactures à l’Allemagne, à la Hollande et à l’Anglettere. Il les a, sinon données, du moins partagées avec ces autres nations. Maintenant, le pays en souffre. La population a diminué en nombre aussi bien qu’en ressources matérielles.

(pg.51, La Cour de louis XV, Journal de Voyage du Comte Joseph Teleki, publié par GABRIEL TOLNAI, Les Presse Universitaires des France, Paris, 1943)



 

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